Cachemire rouge de Christiana Moreau
Éditions Préludes
Sortie le 24/04/2019
Note : 4/5
Bolormaa est une jeune fille qui vit dans les steppes de Mongolie. Entourée de sa famille, ils élèvent des chèvres et vendent leur fourrure réputée : le cachemire. Mais un hiver trop rude décime le troupeau. La famille doit alors quitter les terres sauvages et se trouver un emploi dans la grande ville la plus proche. Malgré les difficultés, Bolormaa fait la rencontre de XiaoLi, une jeune chinoise éprise de liberté. Ensemble, elles vont affronter tous les dangers pour rejoindre l’Italie, où elles croient trouver leur bonheur…
De Christiana Moreau j’avais lu et fortement apprécié La sonate oubliée. C’est donc en terrain connu et attendu que j’ai ouvert son nouveau roman.
Dans un environnement totalement différent, elle nous offre une très belle histoire.
Ode à l’amitié, ce roman aborde également des thèmes tristement d’actualité : la pauvreté des paysans mongols, la tristesse et l’esclavage moderne des usines de confection chinoises ou italiennes, l’exil et les difficultés de la route des sans papiers…
Plus personne n’ose protester de peur de rester sur le carreau, et leur prison roulante, cahotante et suffocante se met en branle pour une route épouvantable longue de deux mille sept cent cinquante-quatre kilomètres.
Bolormaa et XiaoLi sont deux jeunes filles qu’on a privé de leur jeunesse et de leur insouciance mais qui, par la force de leur amitié, vont tout tenter pour changer leur destin…
Mille victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même.
Un grand merci à NetGalley et aux Éditions Préludes pour leur confiance…
Cette lecture me permet de valider l’autrice francophone dans mon challenge Voix d’autrices et mon dernier item du mois rouge dans le challenge Lire en couleurs
Ce sera ma prochaine lecture grâce à Netgalley également. Chic !
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Bonne lecture alors !! 😉
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[…] j’ai pu lire plus librement cette semaine et j’ai donc 3 romans à mon compteur : Cachemire rouge de Christiana Moreau, Ma chérie de Laurence Peyrin et Au bout des doigts dont l’article va suivre dans la […]
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